Nihon-Otaku
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 fan fics - aout 2005

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lady ai
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MessageSujet: fan fics - aout 2005   fan fics - aout 2005 EmptyMer 17 Aoû 2005 - 17:22

voilà les fan fics (le système de vote sera inscrit tout à la fin)*

il y a en tout 5 fan fics à lire (amusez-vous bien kesako mdr )

edit : ca ne doit étonner personne, on a tous fait des fautes d'orthographes. la seule chose qui compte c'est l'histoire elle même qu'elle soit courte ou longue.


Dernière édition par le Ven 18 Nov 2005 - 1:44, édité 3 fois
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lady ai
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MessageSujet: Re: fan fics - aout 2005   fan fics - aout 2005 EmptyMer 17 Aoû 2005 - 17:24

TITRE : Bonne nuit mon petit


Des aboiements se faisaient entendre au loin.
"Vite va te mettre a l'abris" m'a crié maman alors que papa courrait vers la cheminée pour y prendre un vieux fusil qsui y etait accroché.
C'est la premiere fois que je le voyais decrocher le fusil de grand pere.
"Qu'est ce qu'il y a maman?" demandai-je, quelque peu inquiet face a cette agitation soudaine.
"Je n'ai pas le temps de t'expliquer mon coeur...vas te mettre a l'abris avec ta soeur vite..."
Elle nous poussait tout les deux vers la cuisine. Elle jeta un rapide coup d'oeil par la fenetre et poussa une grosse malle. C'est alors que je decouvris qu'il y avait une trappe a cet endroit.
Le coffre etait tres lourd et mes parents ne l'ouvraient jamais.
Ma mere ouvrit l'écoutille et m'y fit entrer le premier quand j'entendis une porte claquer. J'eu a peine le temps d'appercevoir des ombres, et des torches par la fenetre quand maman referma la trappe.
"Maman...ouvre moi...maman...j'ai peur il fait noir..."
J'entendis frapper trois coup sur la trappe, et je me tus.
On entendait les aboiements très fort, il devait y avoir plein de chiens devant la maison. Il y avait des murmures aussi, mais je comprenais pas ce qu'ils disaient.
Je descendis les escaliers de bois sur lesquels j'etais resté perché pour explorer cette piece dont j'ignorai l'existence depuis ma naissance.
J'avaiçais a tâton quand je tombai sur une lampe que je m'empressai d'allumer.
La pièce etait très grande, ma petite lampe n'eclairait pas jusqu'au fond.
Le sol, c'etait de la terre, il y avait de la poussiere partout!
J'avançais a petits pas vers le mur qui n'etait pas eclairé quand j'entendis un cris de ma mere suivit d'un gros bruit, comme du tonnerre mais dans la maison et puis un bruit sourd, comme quand papa fait tomber le sac de patates par terre.
J'entendais ma mere qui pleurait, mais je pouvais pas remonter par les escaliers parce qu'elle avait remis la grosse malle.
Alors j'ai courru dans l'autre direction, mais il y avait un bâton par terre et je suis tombé, j'etais tout sale tout plein de terre. Mais j'avais pas mal, je suis un grand garcon alors je me suis relevé et je suis reparti.
Arrivé au bout de la piece, il y avait rien que des caisses en bois, d'un peu toutes les tailles. et puis j'ai regardé en l'air, et j'ai vu qu'il y avait un trou entre les planches. J'ai essayé d'y passer ma tete, mais c'etait trop petit.
Comme j'ai vu que les planches avaient l'air pourries, je me suis mis a chercher quelque chose pour les casser, j'avais vu des outils par terre.
Je revînt vers le trou qui laissait entrer quelques filets de lumieres qui dansaient comme les feux follets. Je pris le marteau que j'avais ramassé, il etait lourd mais j'etais musclé alors j'arrivais a le porter.
Je tappais, et tappais encore sur les planches, puis a force, elle se briserent et me tomberent dessus en plein de petits morceaux.
Je montai sur les caisses et je glissai ma tête dans l'ouverture. Il y avait des gens qui courraient dans tous les sens, des gens qui criaient beaucoup, et puis des dames qui pleuraient.
Je sortis du sous-sol et me hissai en dehors. J'etais sur le coté de la maison. Dans la rue, il y avait des monsieurs tout en noir, avec des chapeau a toirs pointes comme les chasseurs. Avec eux il y avait plein de chiens qui grognaient et aboyaient. Il y en a meme qui se disputtaient un morceau de viande.
Je m'avançai alors sur la place du village, juste devant ma maison. C'est alors que je vis plein de gens rassemblés dans un petit tas, ils bougeaient plus. Ils etaient les uns sur les autres, tout plein de sang. A certains, il leur manquait une jambe ou un bras...des petits enfants qui n'avaient plus de tete aussi.
Je posai a nouveau mes yeux sur les chiens, quand je m'apperçus qu'ils ne se disputaient pas un bout de viande, mais qu'il y avait une chaussure au bout.
Je voulus rentrer dans ma maison a nouveau quand un autre monsieur en noir en sortit quand j'arrivais a la porte.
"Qu'est ce que tu fais la sale mioche?" Il avait une grosse voix en colere.
"Je veux voir mon papa et ma maman qui sont dans la maison..." répondis-je en pleurnichant a moitié.
C'est alors que le mechant monsieur me saisit par le col et ouvrit la porte pour que je vois mes parents.
Mon pere etait etendu par terre, un trou au milieu du front, dans une grande flaque de sang. Je commencai a pleurer. Je regardais les reste de la piece et malgres mes yeux plein de larmes, je vis ma mere et ma soeurs dans les bras l'une de l'autre,mais elles ne respiraient plus, la jambe de ma soeur avait meme eté en partie dévorée par les mechants chiens.
"Tu les as vu tes parents?" En disant cela, le mechant monsieur en noir me jetta dans la rue.
Je tombai alors par terre, j'avais tres mal a la jambe. Je pouvais plus me relever. Je continuais a pleurer quand je vis deux grosses chaussures noires devant moi. J'arretai alors mes sanglots du mieux que je pouvais et levais la tete pour voir qui c'etait. A travers mes larmes, je vis que c'etait un autre monsieur en noir, mais lui il avait pas de foulard devant son visage.
Il avait un peu de barbe et ses yeux me regardaient comme avec degout, c'etait surement parce que j'etais tout sale et que je pleurais alors que les garçons ne doivent pas pleurer, mais j'arrivais pas a me retenir.
Alors le monsieur il tendit ton revolver dans ma direction. J'etais telement pres que je pouvais presque voir l'interieur du canon, mais comme j'avais les yeux pleins de larmes j'y arrivais pas.
Et puis le monsieur dit d'une voix un peu comme celle de mon papa, mais en plus grave: "Bonne nuit mon petit..."
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MessageSujet: Re: fan fics - aout 2005   fan fics - aout 2005 EmptyMer 17 Aoû 2005 - 17:26

TITRE : Pourquoi ?


Su-mi était en classe de 3em lorsque cette journée qui gâcha sa vie arriva. C’était il y a environs 3 ans et depuis, Su-mi était…

-salut les filles, on se voit demain en cour hein,…
Elle leur fit de grand signe puis disparut dans sa rue, les mains pleines de sacs. Elle revenait d’une après-midi de shopping avec ses trois meilleures amies. Elle rentra chez elle, essaya ses vêtement neuf puis descendit dîner avec toute sa famille.
Ces dîner ne l’enchantait pas car elle ne se sentait pas vraiment a sa place dans cette maison. En effet, Su-mi avait une personnalité assez différente des personnes de sa famille. C’était une gothique lolita mais elle avait vraiment goût a la vie. Comme elle était gothique, elle se pensait incomprise de son entourage familial.

-Su-mi, réveille toi ou tu va être en retard en cour.
Elle ouvrit péniblement les yeux car elle avait du mal a récupérer de sa courte nuit.
-je me lève maman, bafouilla-t-elle
Elle prit très rapidement son petit déjeuner, s’habilla de ses plus beau vêtement noir, se maquilla un peu puis partis en direction de son lycée.
Il faisait froid en cette journée d’hiver et Su-mi marchait plutôt vite.

Elle pénétra rapidement dans l’enceinte du lycée, dans l’intention de se réchauffer un peu. Elle s’arrêta net en se rendant compte que les couloirs étaient étrangement déserts.
Plus elle arpentait les couloirs plus une drôle d’impression commençait a naître dans l’esprit de Su-mi.
Elle arrivait au niveau de la cafeteria quand ce qu’elle vit lui glaça le sang. La, éparpillés sur le sol se trouvaient des corps par dizaines, ensanglantés et mutilés. Seule au milieu de toute cette horreur, une personne demeurait vivante. Il s’agissait la de sa meilleure amie, Yumi. Su-mi heurtait du regard ses dizaines de corps, voulant mais ne pouvant pas s’empêcher de regarder ce massacre. Parmi les victimes, elle reconnu 3 de ses meilleures copines et son petit ami.

Su-mi était écœurée de ce qu’elle venait de découvrir. Elle recula machinalement dans l’intention de sortir de cet endroit, de fuir ce cauchemar et trébucha sur un corps. Elle s’étala alors de tout son long et se releva le plus vite possible, poussa la porte de la cafeteria avec une grande violence
Elle courut en dehors du lycée mais le regard que lui avait lancer Yumi était tellement froid qu’il lui glaçais encore le sang. Comment sa meilleure amie pouvait être a l’origine de tous ces meurtres?

Elle était déjà dehors lorsqu’elle se retourna pour la première fois. Elle pensait être tirer d’affaire mais a ce moment la, elle vit Yumi s’avancer vers elle. Su-mi se remit à courir de plus belle a travers toute la ville sans savoir ou aller pour échapper à Yumi. Elle tourna alors dans une petite rue et se retrouva dans a une impasse. Lorsqu’elle regarda derrière elle, Yumi était déjà la, un couteau ensanglante a la main et avec le même regard glauque. Un regard froid, sans la moindre compassion pour se qu’elle venait de faire et se qu’elle allait faire.
Su-mi recula au maximum lorsqu’elle senti le mur qui fermais l’impasse. Elle savait déjà que c’était trop tard pour elle lorsqu’elle demanda à Yumi
-pourquoi…?


Le mystère sur la mort de Su-mi ne fut jamais relu et cette histoire devint une sorte de légende, d’autant que cette journée la, seule Su-mi était morte.
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MessageSujet: Re: fan fics - aout 2005   fan fics - aout 2005 EmptyMer 17 Aoû 2005 - 17:27

TITRE : A jamais Yonten



Octobre 1950, Au Tibet.

Ce soir là, je fêtais mon huitième anniversaire, maman avait cuisiné pour moi toute l'après-midi. Je ne me lassais pas de la regarder manier ses baguettes mêlant rapidité et souplesse. Je la revois encore mariant avec subtilité tout éoices et jasmin à mon plat de fête. Ayant attendu jusqu'au soir, je sautillais sur ma chaise en guettant le retour de ce père qui annoncerait le début des festivités.
- Maman, quand est-ce qu'on mange ?
- Une minute Yonten, tu ne voudrais pas gâcher le plaisir de ton père qui a travaillé durement pour t'offrir ce repas.
Conscient alors de mon orgueil, Je baissai les yeux et contins mon surplus d'impatience. Je finis donc par m'avachir sur la table en rêvassant au souhait que je ferais à l'instant tant espéré. Il survenait toujours le même : être grand, fort et courageux à l'image de mon père qui se faisait tant désirer. Alors que je fermais les yeux m'évadant dans des contrées lointaines et sauvant le monde, un souffle glacial me sortit de ce doux rêve. La porte ouverte, le vent d'hiver, mon père... enfin.
L'air inquiet, il n'esquissa q'un rapide sourire à mon égard. Apparemment quelque chose le perturbait, ma mère n'osa pas lui en demander la cause et ce n'est que quelques minutes plus tard qu'il lui en fit la révélation. Je n'avais jamais vu mon père aussi troublé, presque incapable d'articuler correctement quelques phrases.
- Je reviens du village, là-bas des hommes en uniforme, des soldats chinois... ils.. ils interrogeaient les gens... ils..
- Calme toi , pourquoi es-tu si nerveux. Si c'est un simple interrogatoire qui te met dans cet état tu vas finir aussi chétif que ton fils.
- S'il te plaît, laisse moi terminer. Certains hommes ont été questionné, je n'ai pas tous saisi de leur conversation, je n'en suis pas sûr, mais... Il hésita un instant cherchant ses mots et en l'espace d'une seconde se défit de ce fardeau qu'il le hantait :
- Voilà, la Chine nous envahit.
- Mais qu'est-ce que tu racontes, ce serait une première ça ! Et tu oses raconter ce genre d' histoire le jour de l'anniversaire de ton fils.
- Ce ne sont pas des histoires ! Répondit-il de son habituel ton sévère, seul ses mains tremblantes trahissait sa peur. J'ai vu comme je vous vois un soldat abattre Gyel, le frère de l'épicier, pour la simple raison qu'il arborait fièrement le drapeau de notre pays.
A ces mots ma mère devint pâle, elle me regarda, le regarda me fixa à nouveau et bafouilla quelques mots inaudibles:
- Qu'est-ce qu'ils veulent ? Mais... mais pourquoi ?
- Ecoute, on n'est plus en sécurité ici, la rumeur court que tout le Tibet va être bientôt envahit, et vu leur méthode je doute que cela se fasse sans heurts.

D'autant que je me souviennes ma mère ne s'était jamais enervée, elle était même connue pour être une femme calme et douce, mais finit par exploser en sanglots :
- Et où veux-tu aller ! Notre vie est ici, tu veux tout abandonner, tout oublier, partir, fuir ! Ils n'ont pas le droit, ils n'ont pas le droit de nous faire ça...
Dans un état second, elle répétait transis par la peur ces mêmes mots.
- Maman pourquoi tu pleures.
Je me souviens lui avoir dis cette phrase, elle me prit alors dans ses bras et m'embrassa. A cet instant je ne savais pas encore que ce serait le dernier contact que j'aurais avec elle...
C'est alors qu'une voix etrangère se fit entendre au loin, un accent qui m'était encore méconnu. Plus tard je compris qu'il s'agissait du soldat qui avait tué l'homme au village. Il n'était malheureusement pas seul, tout un régiment l'accompagnait, et au son des coups de fusil leurs pas résonnaient dans ma tête. Ils n'étaient plus très loin de la maison, et mes parents affolés et perdus eurent pour seul et dernier désir de me cacher, me dissimuler afin que moi au moins je puisse réchapper de cette ignoble tuerie.
- Yonten, va tout de suite dans l'armoire. Et surtout tu n'en sors pas.
- Mais papa...
- Fais ce que ton père te dis, ne t'inquiète pas ce n'est rien. Mais tu dois obéir et ne sortir sous aucun prétexte, me dit-elle en souriant.
- Bien.
J'obéis, je ne pus m'empêcher de laisser couler quelques larmes mais me forçai à garder la tête froide par respect pour eux.
J'étais alors dans le noir de cette vieille armoire en bois que mon père avait construite l'année de ma naissance. Trop etroite pour étendre mes jambes, je demeurais là, acrouppis, à attendre le pire. Et je ne l'attendis pas longtemps, ma mère consciente qu'ils finiraient par rentrer chez nous et tout dévaster préféra sortir et limiter les chances qu'ils me trouvent. Je ne vis pas la scène. Juste un cri, le cri assourdissant d'une femme qui se sacrifiait d'une balle en plein coeur. Mon père ne supporta pas cette vision et préféra se donner la mort lui même, à quelques mètres de moi...

Je ne sortis pas, toujours recroquevillé dans la pénombre je guettais le moindre bruit, le moindre pas. Lorsque mes jambes furent engourdies et que je commençais à ne plus sentir mes pieds, je pris la décision de me jeter dans la triste réalité. La première chose que je vis fut mon père, assis à table, un sabre le transperçant de l'abdomen jusqu'à l'estomac. Mort de sa propre main plutôt que sous l'arme de l'ennemi. J'ai bien crus que j'allais m'évanouir, mais cela était un luxe qui ne m'était pas offert. M'évanouir ici c'était m'exposer à corps perdu au premier soldat qui passait. J'avançais péniblement jusqu'à la porte restée entre-ouverte. Le vent glacial de l'hiver ne me fut plus d'aucun effet. Ce que je ressentis c'était l'ignominie humaine et la honte d'en être un. Devant mes yeux le spectacle macabre de dizaines d'hommes mutilés, dépecés, des hommes et des femmes abattus comme des chiens baignant dans leur sang et gisant au sol dans un dernier souffle. Je ne trouvai pas ma mère. Peut-être qu'il en valut mieux ainsi, je garde à présent encore en mémoire cette derniere etreinte maternelle, son sourire et sa douceur.

Ce soir là je fêtais mon huitième anniversaire, ma mère m'offrit sa vie et mon père son courage.
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MessageSujet: Re: fan fics - aout 2005   fan fics - aout 2005 EmptyMer 17 Aoû 2005 - 17:29

TITRE : Yuï la guerrière



Yuï est une célèbre guerriere au japon. Depuis quelques mois, les habitants d'Osaka disparaissent dans les environs d'un grand temple.
Yuï fut donc appelée pour cette mission. Elle partit donc a Osaka et disposait de deux dagues et dun grappin.

Elle décida de pénétrer dans le temple, rien de spécial jusque la. Elle découvrit assez vite une trappe menant au sous sol. *ce doit etre le sous sol*
Elle entra et alluma une lumiere vive, et elle put voir sur les murs des corps accrochés par les mains, leurs pieds a 10 centimetre du sol environ. Iln'avaient tous qu'un pantalon donc elle put voir qu'ils avaient tous été sauvagement entaillés de la poitrine jusqu'aux hanches puis grossierement recousus surement sans anesthésie. Les premiers corps étaient morts mais plus elle sapprochait du fond plus leur capture et leur entailles avait l'air récente: elle en déduisait sa car le sang sur les premiers corps était sec, et sur les derniers encore en vie, il coulait encore. les derniers étaient donc bien en vie et criaient beaucoup; vers le milieu ils étaient presque inconscioent oiu agonisaient.

Soudain, elle se fit attraper le cou par derriere menacée dun poignard. elle attrapa un col de pull derriere elle et le fit retourner et atterir devant elle.
L'homme lui dit :" tu n'aurait jamais du venir ici ma belle "
Il essaya d'arracher le pull de Yuï mais par reflexe elle lui coupa la main, pui elle continua avec l'autre; et les deux pieds ; elle empécha le sang de couler pour ne pas qu'il meure.
Elle lui demanda: "pourquoi entaille tu les gens et les recoues tu tout de suite après pour rien? Encore tu les ouvrirait pour leur prendre un organe cela paraitrait plus logique (bien qu'aussi cruel)"
"je ne répondrai rien a une gamine de ton genre"
Elle commença a lui entailler le haut de la jambe ce qui fit couler le sang le long de sa cuisse.
"si tu perds davantage de sang tu meurs" lui dit elle
"ta gueule pétasse"
Elle lui trancha la tete net "non mais"

Un homme encore conscient lui dit toute l'Histoire qu'il pensait connaitre car il avait lu un article dans le journal quelques mois plus tot dans les journeaux.
Il expliqua qu'il avait lu qu'un homme retrouva sa fille de 8 mois morte ouverte puis recousue de la meme façon qu'eux et du meme coté gauche.

Yuï par la suite découvrit que le pere de la fille était bien l'homme qu'elle avait assassiné...
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MessageSujet: Re: fan fics - aout 2005   fan fics - aout 2005 EmptyMer 17 Aoû 2005 - 17:31

TITRE : Sombre amour


Kiyoki était assise face à la fênetre de sa chambre. Songeuse, ses yeux fixaient un point sur l'horizon. Dans le couloirs, les pas pressants de gens résonnaient. Ayaka, sa fidèle servante, arriva une valise à la main.
"Ayaka, avant de partir tu m'accompagneras au jardin d'été. J'aimerais respirer une dernière fois le parfum des arbres en fleurs."
"Mais..."
D'un air serein et déterminée Kiyoki lui coupa la parole
"C'est décidé. N'essayes pas de me faire changer d'avis. Ecris, ensuite nous nous ferons nos adieux "
Le visage d'Ayaka était empreint de tristesse. Elle connaissait bien sa maîtresse et savait qu'elle ne changerait pas d'avis alors elle alla s'assoire face au bureau après avoir déposée son bagage près de la porte.
"Je suis prête"
Kiyoki commenca à dicter les mots pour qu'Ayaka les couche sur le papier. En les prononcant, elle avait l'impression d'avoir son interlocuteur face à elle, comme avant. Nul besoin de fermer les yeux pour revoir le visage de Shinji. Lorsqu'elle l'avait rencontré, elle était en pleine période de rebellion et avait besoin d'explorer le monde. Fille d'un soldat, elle vivait au palais impérial et elle s'amusait à jouer les domestiques. C'était d'ailleurs de cette manière qu'elle avait rencontré Ayaka dans une cuisine et Shinji sur la place du marché. Les sentiments qu'elle avait éprouvé pour lui à partir de ce moment restaient intacts. Sûrement parce qu'elle n'avait pas eu le temps de les laisser s'exprimer. Leur histoire n'avait duré que deux mois durant lesquels la jeune fille s'arrangait pour se faufiler jusqu'au marché. Ne pouvant lui dire la vérité, elle lui avait fait croire qu'elle était domestique au palais. Mais elle dû très tôt cesser de le voir à cause de sa cessité soudaine, elle devenait aveugle. Elle restait au palais. Sa vue baissant au fil des mois, elle ne pouvait plus sortir. Son père se lamentait car aucun homme ne voulait d'elle pour femme.
Les cris dans le couloirs effacèrent très vite ces images pour la ramener à la réalité. Le temps pressait, l'assaut serez bientôt lancée. Elle ecrivait à Shinji car ce dernier l'avait récemment recontacté en harcelant Ayaka. Il désirait qu'elle lui transmette une lettre malgré qu'elle lui avait demandé de ne plus le faire. Shinji disait qu'il allait partir sur le champs de batailles, à l'étranger et qu'il ne reviendrai sans doute jamais. Il aurait voulu la revoir avant son départ. Elle lui répondait que c'était malheureusement impossible.



Shinji était dans une ruelle entourée d'hommes revêtant des armures. Il commandait ces hommes. Il était décidé à remporter cette victoire au péril de sa vie, à la mémoire de ses ancêtres. Son père était fils d'empereur mais il avait était mis à mort pour trahison et sa famille avait été chassée du palais. Trop de chose lui avait été retiré par cet ancêtre puis par son oncle, le nouvel empereur. A présent il voulait redorer le blason de sa famille. Il passa sa main sous son armure et en retira une lettre. Il la relit une dernière fois pour y trouver la force et l'espoir de revenir vivant. Cette missive était celle que lui avait écrite Kiyoki après son départ. Ayaka, qui faisait office de protectrice était venue la lui apporter, Kiyoki ne pouvant venir. Elle lui disait qu'elle quittait le palais de force, sous la menace de son père. Shinji avait été très décu qu'elle soit partie sans lui dire au revoir. Alors il conjura Ayaka de lui faire parvenir les lettres qu'il écrivait. Pendant plus d'un an, Kiyoki y donnait réponse puis un jour elle lui annonça qu'elle ne pouvait plus se permettre de garder contact avec lui et lui interdit de lui envoyer d'autres lettres.



Depuis le dernier courrier qu'ils s'étaient échangé, une autre année avait passée. Sur les frontières, des guerres avaient éclatées et la période était propisce au rebellion. Le palais allait bientôt être assaillie par des rebelles. Le père de Kiyoki était mort, assasiné par l'un d'entre eux. Aujourd'hui, il ne restait plus rien à la jeune femme, rien qu'il ne la retenait à la vie. Elle avait décidé de se donner la mort. Ayaka la guida jusqu'au jardin d'été. Il y avait plusieurs plantations dans cet espace clos et protégé par une verrière. Elle vint ici car elle se doutait que les rebelles attaquerait d'abord les soldats de l'empereur et qu'ensuite ils envahiraient les appartements.
C'était une journée ensoillée mais quelques nuages commencaient à assombrir le ciel. Kiyoki sentait les rayons du soleil sur sa peau. Ayaka l'a fit s'assoir sur le banc.
"Bien, tu as fait ton devoir, je te rends ta liberté à présent."
Des larmes perlèrent sur les joues de la servante. Elle retint ses sanglots pour que Kiyoki ne l'entende pas.
Elle déposa un poignard sur les genoux de la jeune femme.
"Je ne comprends toujours pas pour quoi vous faites cela"
"Je suis qu'une jeune femme dont la cessité effraie les hommes. Ils craignent que je soit maudite. Je n'ai plus de famille, mon père a été tué. Et j'ai menti à la seule personne avec qui j'aurais voulu construire une vie. Je ne peux être un poids pour toi, prends soin de toi et occupe-toi des tiens. Vas-t'en, vite"
Ayaka la pris dans ses bras puis l'embrassa sur la joue. Elle la regarda durant quelques secondes. Kiyoki était toujours aussi sereine que d'habitude, rien ne briserai son assurance. Des bruits plus forts se faisaient entendre. Des cris de guerre,des hommes qui luttaient entre eux.
"Ca y est, ils sont là !"



Shinji et ses hommes se dirent qu'il était temps de lancer l'offensive. Ils savaient que l'effectif des soldats était inférieur au leur. Pendant la veille, les habitants avait fuit le village. Quelques mètres plus loin l'ennemi avait formait un mur : les soldats les attendait. Quelques minutes après, il commanda à son armée d'attaquer. Chacun se mit à courir vers les soldats, dégainant leurs sabres. A son tour Shinji fit de même, il pourfenda plusieurs corps. Il était rapide et précis, visant toujours un endroit fatal. Il crevait des yeux, coupait des têtes, des bras. Il était recouvert de sang. Son camp perdait quelques hommes. Il cru que son heure était venue quand l'un des soldats enfonca son sabre dans son épaule. L'homme retira l'arme et la fit pivoter pour ensuite viser son cou mais Shinji se baissa à temps et lui donna un coup dans le ventre, le poussant à terre. Il posa son genou sur sa victime puis passa sa lame sur sa gorge. Il l'égorgea très rapidement et un trait de sang se forma. Shinji se redressa et avanca, continuant à tuer. Rapidement ses hommes vinrent à bout des soldats. Ils entrèrent dans le bâtiment et avaient pour ordre de tuer hommes, femmes et enfants, qui étaient restés.



Kiyoki avait ordonée à Ayaka de partir et d'essayer d'échapper aux rebelles. Elle prit le poignard qu'elle lui avait laissé et le tenait serrée contre son ventre. Elle allait bientôt passer à l'action. Les cris avaient cessé, c'était le moment où jamais. Elle espérait que son amie s'en était sortie. alors qu'elle était sur le point de transpercer sa peau, un cri percant résonna. Elle reconnu la voix d'Ayaka. Ne craignant pas de mourir, elle se leva aussitôt et avanca jusquà la porte de la verrière, avec pour une fois, ses mains pour seules guides. Une fois à l'extérieur, elle s'arreta guetant un autre cri. elle n'entendait que des bruits provenants du palais. Ne pouvant attendre plus longtemps, elle avanca encore puis heurta quelque chose. Elle tomba et atterit sur quelque chose de visqueux. Les parties de son corps et de son visage qui touchaient le sol étaient recouvert de cette matière. Elle posa sa main sur son visage puis l'approcha de son nez. Elle reconnu une odeur de sang. Son coeur se mit à battre plus vite, elle était dégoutée. Elle tata le sol pour savoir sur quoi elle était tombée. Ca avait la forme d'un corps humain, mais sans tête. Ses mains atterir sur le coup où se trouvait un collier. Quelle ne fut pas sa stupeur en constatant que c'était celui d'Ayaka. Kiyoko vomit sur le corps. Ensuite elle laissa ses mains se promener une dernière fois sur son corps inerte. Dans le creux de sa main, Ayaka avait gardé la lettre. Kiyoki la prit et se releva pour poursuivre son chemin. Elle réalisa bien vite qu'il y avait d'autres corps car elle en heurta plusieurs. Puis elle sentit la main de quelqu'un qui lui attrapait le bras et qui la forca à se retourner. C'était Shinji.
"Qui êtes vous ?"
Elle esperait que c'était un soldat mais au fond d'elle, Kiyoki se doutait que c'était le rebelle qui avait tué Ayaka
"Laissez moi mourir dignement, s'il vous plaît"
Shinji ne reconnu pas sa bien aimée à cause du sang. Le temps commencait réellement à se gâtait, la pluie ne tarderait pas à tomber.
"Comment veux tu mettre fin à tes jours ?"
"Prêtez moi votre arme, elle fera l'affaire"
"Tiens !"
Il lui tendit son sabre. Il détestait les gens de ce palais pour avoir chatié ses ancêtres à cause de la trahison de son grand père. Mais il respectait le choix de mourir dignement.
"Une dernière faveur, s'il vous plaît. J'aimerais que vous retrouviez un homme pour lui remettre cette lettre."
Il prit l'enveloppe qu'elle lui donna s'en même faire attention au nom qui était écrit sur l'enveloppe.
"Son nom est Mishima Shinji"
Elle retira le sabre du fourreau lors que Shinji devint tout blème. Kiyoki posa la pointe du sabre sur son ventre.
"Attendez ! Comment connaissez vous cette homme ? Quel est votre nom ?"
"Vous le connaissez ?"
"Répondez !"
"Je ne vous dois rien. la mort m'attends que je vous répondes ou non."
En écoutant sa voix, il pensait la reconnaître, mais il se disait que s'était impossible.
"Kiyoki ?"
"Co...comment savez-vous mon nom ?"
Il avait honte à présent de répondre à cette question.
"C'est moi, Shinji"
Pendant plusieurs secondes il restèrent là sans rien dire. Shinji l'observait. Kiyoki était abasourdie, elle le croyait à l'étranger, luttant pour le pays. Elle comprit très vite que lui aussi avait menti. La colère la gagna très vite. Elle brisa le silence, s'adressant à lui d'un ton sec, les mains toujours enpoignant le sabre.
"Alors... tu fais parti de ces imbéciles. Tu me donnes la nausée."
"Je suis venue récuperer ce qui revient de droit à ma famille : le trône."
"A cause de vous, j'ai du enterrer un père qui n'avait plus de tête. Et l'un des tiens viens de tuer Ayaka. Quel mérites en tire tu ?"
"Aucun mais l'empereur et son entoutrage nous ont toujours traîté comme des moins que rien. Je suis sincérement navré, je ne pensait pas te mêler à tout ça. si j'avais su que tu étais encor ici..."
"Tais toi ! Tu ne mérites que le mépris. Je ne suis jamais partie. Je t'ai fuit, craignant que tu me considères comme maudite. Mais je n'aurais pas du me soucier de l'opinion d'un meurtier. D'ailleurs, puisque c'est ta fonction, vas y achèves moi ! Assassin !"
Shinji secoua la tête en signe de protestation. Il y a encore quelques heures il rêvait d'utiliser ses futurs privilèges usurpés afin de la faire revenir auprès de lui et l'épouser.
"Si tu veux bien me pardonner, je te promets de te faire oublier tout ça. Je voulais te rejoindre et te demander de devenir ma femme"
Elle ne pouvait lui lancer de regard noir mais son visage exprimer le mépris.
"Jamais ! Il y a quelques minutes, tu restait mon meilleur souvenir, mon âme soeur, dorénavant, tu ne vaux rien. Te donner l'absolution serait un crime"
Shinji baissa les yeux quelques instants, ce sentant honteux. Kiyoki prît un air grave et se pinca les lèvres.
"Plutôt mourir."
Sur ces mots elle poussa avec violence le sabre contre elle qui déchira son ventre. Shinji entendant le bruit sourd releva les yeux et la vit, transpercée par son sabre. Ses lèvres prononcèrent un mot étouffé, un cri sans bruit. La jeune fille retira ensuite le sabre et le jeta à terre, non loin du corps d'Ayaka. Shinji la regarda, impuissant. Il retenait de toutes ses forces ses larmes. Il se laissa tomber sur ses genoux. Kiyoki le dévisagait avec un regard haineux. L'arme gisait dans une mare de sang. Le tonerre gronda et des gouttes d'eaux tombèrent en trombe du ciel. Tout deux étaient trempés. L'homme saisit le sabre et comme un automate, il transporta Kiyoki à l'intérieur du palais. Il trouva une chambre et la posa sur un lit. Pendant qu'elle agonisait lentement, Shinji prit le temps de la nettoyer, d'enlever les tâches de sang sur sa peau. Il resta à son chevet, à réflechir. Qu'allait t'il devenir maintenant, le trône lui restait indifférent dorenavant. Elle lui avait fait prendre conscience que sa quête n'avait pas de sens. Usurper la place d'empereur pour honorer un traître, qui plus est, mort : il en était arrivé bien bas. Il ne pourrait plus jamais vivre l'esprit serein ; les images de Kiyoki se donnant la mort le hanterais à jamais. Comment pourrait il vivre avec sa mort sur la conscience ? Surtout, comment vivrait t'il sans elle ? Sans plus réflechir, il saisit son sabre et le posa sur ses genoux. Il retira son armure puis détacha son kimono. La lettre tomba à terre. Il prit celle que Kiyoki voulait lui donner. Il les mit à plat sur Kiyoko. Shinji posa la pointe de son sabre sur son buste nu, juste au dessus de la ceinture. Shinji lanca un dernier regard sur le corps de la jeune fille. Une larme se forma et coula le long de sa joue qu'elle quitta pour atterir sur la lame du sabre. Il s'éventra dans l'art du seppuku, s'arrangeant de manière à ce que la plaie soit bien profonde. Après avoir retiré l'arme, il s'allonga au côté de sa bien aimée et se laissa mourir.
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MessageSujet: Re: fan fics - aout 2005   fan fics - aout 2005 EmptyMer 17 Aoû 2005 - 17:36

Système de vote

comme d'habitude, vous m'envoyer vos votes par mp.

vous m'indiquer les 3 fan fics que vous avez préférés (par ordre de préférences bien sûr)

ps : s'il y a une ou plusieurs égalités, je ferais un sustème de points.


edit : les votes seront ouverts jusqu'à vendredi 12 h
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